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1.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S53-S54, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1867527

ABSTRACT

Introduction Les tableaux cliniques parfois indiscernables entre infections Covid-19 et grippe, et la réapparition d'une épidémie modérée de grippe en France durant l'hiver 2021-2022, ont confirmé l'intérêt d'une détection couplée. Le laboratoire de virologie de notre CHU assure le diagnostic moléculaire du SARS-CoV-2 et des autres virus respiratoires par différentes techniques, pour analyser un grand nombre de prélèvements sur automate de grande capacité et répondre en parallèle à l'urgence à l'aide de tests unitaires Nous avons évalué les performances par rapport aux techniques de routine, d'une trousse combinée sur un automate de grande capacité, et une PCR rapide grippe-Covid. Matériels et méthodes Des prélèvements initialement trouvés négatifs ou positifs en SARS-CoV-2 ou grippe A ou grippe B par technique Simplexa™ COVID-19 Direct et Simplexa™ Flu A/B & RSV Direct ont été testés selon les recommandations des fabricants avec les trousses Aptima™ SARS-CoV-2/Flu Assay (Panther System, Hologic), et Simplexa™ COVID-19 & FLU A/B Direct (Liaison MDX, Diasorin). Résultats Les échantillons négatifs (n=12) ont été retrouvés négatifs par les 2 techniques. Concernant les virus grippaux, les positifs, sélectionnés sur une large gamme de Ct de la PCR initiale (réalisée en 2019 et début 2020), ont tous été retrouvés positifs par les 2 techniques évaluées (n=12 grippes A et 12 grippes B). Avec le test Aptima, une bonne corrélation a été observée entre le Ct de la PCR initiale et le T time de la détection en TMA. En PCR combo Simplexa, les Ct se sont révélés plus précoces que ceux de la PCR initiale, avec une différence moyenne de -6,63 (min -7,6 ; max -5,2) pour la grippe A et -10,49 (min -17,9 ; max -6,9) pour la grippe B. Cependant la PCR initiale était de 1ère génération et un retest avec le kit Simplexa Flu A/B & RSV Direct Gen II utilisé depuis fin 2020 (n=4 grippes A et 3 grippes B) a minimisé cet écart moyen à -1,60 Ct pour les 2 virus grippaux. Concernant le SARS-CoV-2, sur une large gamme de Ct de la PCR initiale, 14 positifs /15 ont été retrouvés par le test Aptima et 12/15 par le test Simplexa, une des discordances portant sur le même échantillon. Pour le test Aptima, une bonne corrélation a été observée entre le Ct de PCR initiale et le T time de TMA (confirmé au cours de l'utilisation ultérieure en routine), et l'échantillon non retrouvé était initialement très faiblement positif. Pour le test Simplexa, les Ct en PCR combo se sont révélés plus précoces (différence moyenne -0,75 ; min -4,85 ; max +3,5), et les 3 échantillons non retrouvés étaient initialement très faiblement positifs (2/3 non retrouvés au retest par technique initiale). Conclusion Les 2 trousses combinées Grippe-Covid19 ont présenté des performances satisfaisantes et une sensibilité égale ou supérieure à la technique comparative. Le test Aptima est compatible avec une utilisation à haut débit, avec un rendu de résultat en 2h30 ; le test Simplexa est un test d'urgence avec un rendu en 80 minutes pour 1 à 8 échantillons. Les 2 trousses donnent une estimation semi-quantitative du niveau de génome viral, utile pour le suivi longitudinal des infections virales. Aucun lien d'intérêt

2.
FASEB Journal ; 35(SUPPL 1), 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1821960

ABSTRACT

Introduction and Objectives Novel SARS-CoV-2 virus has been implicated in prompting a bold immune response that leads to severe Coronavirus disease 2019 (COVID-19). Recent studies have shown that SARSCoV-2-infected monocytes and macrophages are stimulated to produce an overabundance of pro-inflammatory cytokines and chemokines to generate a cytokine storm. Cytokines in excess can contribute to local tissue inflammation and the pathogenesis of COVID-19. However, the mechanism by which SARS-CoV-2 signal macrophage-derived inflammatory response remains unclear. In the present study, we used RAW 264.7 cells, a wellcharacterized macrophage model, to study the in vitro effects of SARS-CoV-2 on reactive oxygen species (ROS) production and its potential role in the signal transduction of cytokine production. Methods The effect of SARS-CoV-2 on ROS and cytokine generation in macrophages was assessed by treating RAW 264.7 cells with SARS-CoV-2 heat inactivated virus (0-20 million viral particles) or recombinant proteins for 24 hours. 2',7'-Dichlorodihydrofluorescein (2',7'-DCF) fluorescence analysis was utilized to quantify ROS generation within the RAW 264.7 macrophage cell line. Cell culture medium was sampled to quantify the levels of tumor necrosis factor (TNF) using enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA). To assess the effects of SARS-CoV-2 on mitochondrial function, cells were treated with SARS-CoV-2 heat inactivated virus (0-20 million viral particles) for 24 hrs. Mitochondria-derived superoxide was measured using the MitoSOX™ red mitochondrial superoxide indicator. Results Treatment of RAW 264.7 cells with inactivated SARS-CoV-2 viral particles or recombinant proteins stimulated ROS production. Mitochondria-derived superoxide and hydrogen peroxide production were increased in response to inactivated SARS-CoV-2 viral particles and recombinant protein exposure. The increased ROS generation is linked to macrophage activation induced by SARS-CoV-2 exposures. Along with the ROS generation, increased TNF production was observed. Conclusions The results of this study suggest that both SARS-CoV-2 viral proteins and heat-inactivated viral particle exposures cause significant generation of ROS and cytokines by RAW 264.7 cells. ROS generation and the subsequent cytokine release apparently play a significant role in the pathogenesis associated with the SARS-CoV-2 viral infection. The imbalanced cellular defense system against oxidative stress commonly associated with aging could explain the increased occurrence of more severe SARS-CoV-2 illness in seniors and in patients with underlying health conditions. Based on the results from this study, we propose that antioxidants such as N-acetyl-L-cysteine, resveratrol, or Vitamin E in combination with antiinflammatory drug could be used to control excess ROS and cytokines in patients with severe COVID-19.

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):60, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586580

ABSTRACT

Introduction Un centre de vaccination a été mis en place dans l’unité de consultation de pneumologie et d’oncologie thoracique;un COPIL avait lieu chaque semaine au cours duquel les allocations de doses étaient réparties entre les services volontaires et les indications à la vaccination des patients éligibles selon les DGS-urgent étaient réactualisées. Méthodes Étude épidémiologique observationnelle rétrospective des patients suivis dans le service de pneumologie et d’oncologie thoracique et vaccinés dans le secteur de consultation entre le 23/01/2021 et le 04/06/2021. Résultats 387 patients (208 hommes et 179 femmes), âgés en moyenne de 63 ans (18–92) ont été vaccinés. 259 patients (66,5 %) avaient une pathologie tumorale thoracique. 204 patients (52,4 %) étaient sous un traitement actif (n=164 sous chimiothérapie ±immunothérapie, n=14 avaient une chirurgie thoracique, n=13 sous inhibiteur de tyrosine kinase, n=10 en cours de radiothérapie et n=3 sous immunosuppresseur). Au total, 196 doses de VAXZEVRIA et 512 doses de COMIRNATY ont été administrées. Aucun effet secondaire inattendu ou de grade 3–4 imputables au vaccin n’a été observé. 18 patients avaient eu une infection COVID19 avant la première dose (d1). Au cours du suivi, 9 patients (2,3 %) ont eu une infection COVID19 entre d1 et la seconde dose (d2). Aucun cas de COVID19 n’a été observé après d2. Parmi les 9 patients infectés par le COVID19, 3 ont été hospitalisés dont 1 est décédé du COVID19 et 6 ont eu une forme pauci symptomatique. Au cours du suivi, il y a eu au total 22 décès (16 liés au cancer, 3 liés à la pathologie chronique de fond, 2 par rupture d’anévrysme cérébral, 1 par COVID19). Conclusion Les vaccins VAXZEVRIA et COMIRNATY ont été très bien tolérés et très efficaces sur la cohorte de pneumologie et d’oncologie thoracique en association aux autres mesures barrières. La reconnaissance des patients était élevée. La mise en œuvre de la vaccination dans l’unité a été fédérateur et valorisant pour l’équipe soignante et a permis également d’améliorer la communication sur le vaccin et de lever des réticences.

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